La salle de torture ressemble plus à un donjon BDSM qu’autre chose. Il semblerait que la Directrice eut des envies peu catholiques lorsqu’elle installa cette pièce. Seuls les gardiens peuvent y accéder, et seule la directrice peur voir ce que les caméras de surveillance filment ici. En son centre, un immense canapé de cuir rouge prône, et contre le mur du fond, une Croix de Saint André se dresse fièrement, attendant qu’on l’y attache un jeune homme pas sage. Près de la porte d’entrée à droite, un lavabo et de l’autre côté de la porte, une grande armoire métallique avec en son sein, préservatifs, lubrifiants, un kit de secours pour les premiers soins et diverses choses surprenantes. Enfin, tout le mur gauche de la pièce sert à accrocher divers accessoires, chaines, cordes, fouets, cravaches, badines, et j’en passe. Oui cette salle de torture pour certains peut devenir un véritable antre du plaisir pour d’autres.

Endroit privilégié pour les scientifiques et autres médecins de la prison. C’est ici qu’on fait toutes sortes de tests saugrenus sur les détenus. Ils sont bien évidemment tous consentant… Ou du moins, le papier est signé par la directrice et ça suffit…

La salle d’hydrothérapie est une des salles les plus connue de l’établissement. Le soin se forme de deux façons différentes, premièrement, le patient est plongé dans une baignoire que nous fermons simplement avec une bâche ne laissant que la tête dépasser. Le patient est ainsi plongé dans l’eau pendant des heures. La deuxième méthode et de l’attacher à une chaise et de plonger la chaise dans l’eau pour noyer le patient. On le ressort évidemment avant qu’il ne se noie… Bien évidemment, tout ceci se passe dans l’eau glacée. C’est censé soigner les folies d’un détenu.